Alors que plusieurs équipes ont procédé à des changements importants à tous les niveaux au sein de leur organisation, les Canadiens de Montréal prônent la continuité.
Selon ce que TVA Sports a appris, Sylvain Lefebvre s’est vu offrir une prolongation de contrat de la part du directeur général Marc Bergevin.
En cinq saisons en tant qu’entraîneur-chef du club-école du Tricolore, Lefebvre a guidé les IceCaps de St. John’s à une participation en séries éliminatoires. Il demeure l'homme de confiance du CH.
Toujours selon ce que TVA Sports a appris, l’ancien défenseur de 49 ans préférerait attendre avant de confirmer son retour derrière le banc de la filiale américaine du club puisqu’il souhaiterait effectuer un retour dans la Ligue nationale de hockey en tant qu’adjoint. Une situation complètement louable.
Il faut préciser toutefois que le contrat actuel de Lefebvre arrivera à échéance le 30 juin prochain. Les Canadiens souhaitent ardemment que Lefebvre demeure avec l'organisation, mais si une autre équipe souhaite lui parler, elle devra demander la permission à Bergevin.
Un adjoint avec les Panthers?
L’une des raisons pour lesquelles les Panthers de la Floride n’ont pas encore nommé de remplaçant à Tom Rowe est qu’ils souhaitent parler à certaines personnes qui travaillent encore. L’une de celles-ci est Phil Housley, qui est actuellement à l’emploi des Predators de Nashville.
Si Housley devait obtenir le poste d’entraîneur-chef, il y a de fortes chances que Lefebvre fasse partie de l’équipe d’entraîneurs. Les deux n’ont jamais joué ensemble, mais ils se connaissent et partagent le même agent.
Parlant des Panthers, selon ce qu’on m’a dit, Michel Therrien a très bien fait en entrevue. Si les Panthers optent pour l’expérience, Therrien risque d’avoir le job, mais il y a un hic: Therrien empochera deux millions de dollars la saison prochaine. La Floride est une équipe à petit budget qui, dans le passé, n’était pas prête à débourser ce genre de salaire pour un entraîneur.
Si on veut attirer Therrien, les Panthers pourraient lui donner un salaire en deçà d’un million la première année (la différence sera payée par les Canadiens), mais on devra délier les cordons de la bourse ensuite. Un obstacle majeur?